Injures et violences... un lourd passé.
Voici l'enregistrement audio de l'agression que j'ai subi le 7 janvier 2011, alors que je distribuais dans les boites à lettres des citoyens de Crésantignes, un papier annonçant la création de mon blog CRESANTIGNES.INFO. [Pour revoir ce papier, cliquer ici]
J'y dénonçais les violences et les insultes subies à la mairie le 17 décembre 2007 mais surtout je racontais comment des gens sans conscience et sans scrupules m'avaient, de par leurs déclarations mensongères, fait condamner à de la prison pour un acte que je n'avais pas commis mais que ces gens prétendirent m'avoir VU commettre. L'agresseur et son épouse que l'enregistrement dévoile furent bien sûr de ces gens là. Pour (ma) mémoire, je fus relaxé en appel et le maire Blanchard débouté de toutes ses demandes.
VIOLENCES
L'agression a eu lieu dans la rue principale. J'y ai reçu une gifle qui a fait tomber mes lunettes. On entend les insultes ("enculé", "connard"), on entend les menaces ("avec moi, tu vas pas écrire longtemps"). L'enquêteur a jugé cette phrase… inaudible et pourtant ! En tendant l'oreille, on entend même le bruit de la gifle et de la chute au sol de mes lunettes. Bien sûr ce voyou a nié les faits déclarant lors de l'enquête :
"Je suis allé vers lui en vélo. Quand il m'a vu, il a littéralement jeté son vélo à terre. Il s'est mis à hurler que je l'agressais alors que je venais juste lui dire que je n'acceptais pas sa venue chez moi ni ses courriers."
Ecoutez, 2 minutes de violence dans la rue principale de Crésantignes.
Stop
Pour découvrir l'usage du magnétophone ci dessus, cliquez ici.
INSULTES
Mais l'agression ne s'arrête pas là. Quelques instants après le départ du mari, l'épouse entre en scène. Cette personne arrive sur le lieu de l'agression dans sa camionnette grillagée blanche. Dans la nuit, je recherche toujours mes lunettes. La voiture passe au ralenti.
Entendue comme "témoin", cette "honorable" personne déclarera :
"J'ai ouvert ma vitre de la voiture et je lui ai balancé son tract. Je lui ai simplement dit que je lui interdisais de mettre des papiers dans notre boite."
A la question :
"Monsieur Vaudez dit que vous l'avez copieusement insulté. Qu'en est-il ?"
la digne épouse répondra : "Non c'est absolument faux. Je lui ai simplement interdit notre boite à lettres."
Quel culot ! Quel mensonge ! En fait comme le prouve l'enregistrement que malheureusement l'enquêteur n'a pas écouté jusqu'au bout ou n'a pas cru devoir transcrire, l'intervention de cette dame distinguée tient en SIX MOTS, pas un de plus :
"Ca va, vieux con? Sale pute."
Tendez l'oreille, le bruit du moteur ne facilite pas l'écoute mais pas de doute, 6 mots pas plus.