L'egogaspillage municipal... financé par les contribuables :-(
La Commune condamnée à payer
Le maire Blanchard l’avait très confusément et très rapidement –vite fait, mal fait- annoncé dans les ultimes minutes du dernier conseil municipal :
« […] Donc on doit, on lui doit (NDLR : à moi !!) la somme de 1 000 €… qu’on lui donnera. Et voilà ! »
[voir l’article « Une histoire de ON » du 21/09/2011]
Par une lettre-chèque, datée du 28 septembre, j’ai reçu par l’entremise de l’avocat, la moitié de la somme annoncée : 500 €.
Ne connaissant pas les dispositions actées entre le maire Blanchard pour la Commune de Crésantignes et son associé le gérant Bosteaux pour la SARL LE MOULIN, quant au paiement de l’avocat commun, quant au partage des recettes espérées (ou des pertes éventuelles !), je constate et je regrette que pour l’heure, le « ON » bicéphale ne m’ait réglé que la moitié des 1 000 € ordonnés par la Cour Administrative d’Appel de Nancy… AU NOM DU PEUPLE FRANCAIS.
[Voir ci dessous des extraits de l'ordonnance de la
Cour Administrative d'Appel de Nancy]
Le scandale d’un « appel » sans aucun intérêt pour la Commune
J’ai déjà expliqué que l’appel en annulation déposé par le maire contre le jugement du Tribunal administratif de Chalons (qui m’était favorable !) n’avait aucun intérêt pour la Commune (pas même pour le gérant Bosteaux puisqu’un 4ème permis de construire lui avait été promis … par le père Noël municipal siégeant 20 minutes un 22 décembre 2010 !).
[voir l’article « Un appel pathétique du maire »]
A priori, seule la volonté d’en découdre avec la partie adverse a pu expliquer que le maire Blanchard, mis en cause car très impliqué à titre personnel, dans les affaires foncières du Béché, se soit lancé sans le moindre discernement et sans en référer au conseil municipal, dans cette aberrante procédure.
Mais une poursuite judiciaire au demeurant sans risque pour lui :
- puisque ce n’est pas lui qui paye l’avocat (mais l’assurance juridique de la Commune)
- et puisqu’en cas de condamnation, ce n’est pas lui qui débourse mais le budget communal, donc vous et moi : les contribuables… ce qui est scandaleux et que je déplore.
Car les contribuables vont devoir PAYER pour ce qui n’est pas une erreur mais une faute morale de goût et d’ego du maire. J’espère que Dominique Blanchard maire de Crésantignes, aura la décence de rembourser à la Commune ces 500 euros gaspillés, qui loin d’engraisser Vaudez sont, depuis longtemps déjà, dans l’escarcelle de l’avocat, OBLIGATOIRE en appel, lequel s’apprêtait à défendre mon dossier devant la Cour… avant que le maire, après avoir une fois encore joué son matamore, finalement ne se défile.
Mercredi 23 novembre 2011
Conformément aux dispositions de la Loi sur la confiance et l'économie numérique du 21 juin 2004 et au Décret n°2007-1527 du 24 octobre 2007 et conformément à l'éthique pronée par ce blog, un "droit de réponse" de Dominique Blanchard est ci dessous "inséré au même emplacementet et en caractères similaires" au texte auquel il se réfère.
Le texte ci dessous contient des propos haineux et diffamatoires ; il met même en cause l'impartialité d'un jugement du Tribunal administratif, c'est dire si je laisse à son auteur l'entière et exclusive responsabilité de son contenu.
Je reviendrai très prochainement sur cette "réponse" de Dominique Blanchard pour l'analyser et la commenter.
En attendant, lisez attentivement ce texte révélateur des pratiques et des qualités morales de son auteur.