ELECTION : Quand le candidat Blanchard se révèle au grand jour.
Dominique Blanchard, maire sortant et candidat à sa propre succession, a beaucoup tardé a informer les habitants de sa candidature. Alors que dans les communes voisines, les intentions des maires étaient connues depuis parfois plusieurs mois, la liste de Dominique Blanchard n'a fait connaitre sa composition et son programme que dimanche dernier, à une semaine du scrutin. Pourquoi ?
Nous sommes vendredi 13 mars et à l'instant où j'écris ce texte, il est 19 heures. J'ai découvert il y a peu que Blanchard Dominique avait distribué dans les boites à lettres un tract me mettant gravement en cause : de même que je n'ai pas eu "l'honneur" dimanche dernier de recevoir l'enveloppe contenant la "liste Blanchard" et sa propagande électorale, je n'ai pas été cet après-midi, destinataire de ce tract daté du 11 mars mais semble-t-il distribué cet après midi seulement, à quelques heures de la clôture de la campagne électorale ! Voilà qui est révélateur d'un certain état d'esprit.
Merci à ceux qui m'ont alerté de ces mauvaises manières du candidat Blanchard. J'espère que ses colistiers ne sont pas complices de ces pratiques déshonorantes.
Faute de pouvoir, le temps manquant avant minuit (!), répondre par un document papier, aux attaques indignes portées contre moi, candidat libre, par la tête de liste Blanchard, j'en suis réduit à rédiger une courte réponse sur ce blog. Que celles et ceux qui liront ces quelques lignes témoignent.
Ainsi se comporte le candidat maire : trois accusations fortes pour marquer les esprits et salir l'adversaire ! Mais RIEN pour les étayer ensuite ! C'est intellectuellement malhonnête.
- De quels mensonges parle DB ?
- A quelles calomnies fait-il référence ?
- De quelles diffamations s'agit-il ?
Et il faudrait croire cet individu sur parole !!
Ses qualificatifs insanes sont vides de sens. Je mets Blanchard au défit de donner des exemples de mensonges, de calomnies ou de diffamations dans mes propos de campagne.
Je ne peux commenter l'ensemble du tract. Il me faudrait beaucoup trop de temps. Et l'heure tourne, minuit approche.
Allons donc directement au summum de l'ignominie du texte Blanchard. Évoquant sa condamnation pour des "faits de violence par une personne dépositaire de l'autorité publique", il ose écrire :
Son avocat lyonnais avait qualifié de "noms d'oiseaux" les injures (voir les articles partie 01 et partie 02) de son client ; comment cet individu violent ose-t-il m'arracher une grosse poignée de cheveux et venir parler ici de "caresse". Ce personnage est odieux.
Quant à sa condamnation, il ment : si au pénal (action publique), il a écopé d'une petite (!) amende de 500 € avec sursis, il a été condamné AUSSI à me verser (sans sursis) la somme de 400 € au titre des dommages et intérêts, plus 400 € de frais d'avocat.
Pour le reste, il est hélas trop tard pour en parler.